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Lorsque la photo n'a pas de lien avec l'aéronautique, elle est systématiquement refusée pour ce motif là. Cela peut aussi être une photo d'aéroport avec de nombreux avions indiscernables en arrière plan, par exemple.
Les données transmises lors de l'envoi des photos sont parfois incomplètes. Nous essayons bien sur de les compléter lorsque cela est nécessaire. Toutefois, nous n'arrivons pas toujours à obtenir le minimum requis pour pouvoir accepter vos photos. Il nous est, par exemple, essentiel de posséder l'immatriculation précise de l'avion. Par exemple, si vous envoyez un A320 d'Air France avec une immatriculation approximative, il va nous être difficile de retrouver l'appareil en question, à cause du grand nombre d'avions de ce type au sein de la flotte d'Air France. Ce point est une nécessité pour que notre base de données (le lieu où sont "rangés" les données) puisse rester claire et cohérente.
Un cliché flou peut ne pas être détecté lorsque vous visionnez l'image en miniature. Nous vous conseillons donc de regarder la photo en zoomant à 100%. La photo peut être floue pour plusieurs raisons :
Le bruit numérique correspond à la présence de grain sur une photo. Ce problème est caractéristique des zones sombres par exemple. Voici une photo comportant du bruit :
Il peut être difficile de voir la différence avec cette résolution. Néanmoins, lorsqu'on compare le cliché ci-dessus avec une image sans grain, l'explication devient plus claire. Voici la même image divisée en deux : à gauche, on voit le bruit, à droite, l'image est acceptable, même si elle n'est pas parfaite :
La plupart du temps, le grain apparaît avec de mauvaises conditions d'éclairage, lorsqu'on utilise des ISO (c'est la sensibilité du capteur de l'appareil photo) plus élevés, même si les derniers appareils photo ont réalisé des progrès considérables dans la gestion du bruit numérique.
Lorsque des photos sont prises alors que les conditions météorologiques sont médiocres, voire mauvaises, il sera plus probable que vos photos soient refusées que si vous les aviez prises par beau temps.
Les logiciels d'édition de photos peuvent réduire le grain d'une photo, mais encore une fois, il faudra agir avec prudence car la réduction du bruit entraine une certaine perte des détails de la photo. Vous devrez donc trouver le bon équilibre pour que la photo soit acceptable.
Enfin, cet exposé est une règle générale et il arrive que certaines photos comportant du grain puissent être acceptées : quelques photos prises par mauvais temps (neige ou pluie) peuvent être très belles ou spéciales; de plus, des photos plus anciennes, provenant de scanners ou de diapositives, comportent naturellement plus de grain que des photos d'appareils numériques récents et seront acceptées à cause de leur caractère exceptionnel.
Ce terme englobe de nombreux points sujets à controverse. C'est surement le point qui fait le plus polémique, au vu des messages reçus par notre équipe.
En général, nous appelons "cadrage correct" une image où l'avion est visible entièrement, placé au centre, sans être trop loin ni trop près des bords de la photo, avec le fuselage approximativement au milieu et avec un horizon à niveau.
Des exceptions viennent compléter le tableau avec des vues partielles (gros plans) et avec des clichés présentant un arrière-plan intéressant. Là, un avion plus petit et pas forcément centré peut se concevoir, mais l'horizon à niveau est une règle d'or et l'image se doit de présenter un attrait particulier en dehors de l'avion lui-même.
Concernant les gros plans, le cadrage sera également pris en compte et un bout d'avion sur une image ne justifiera pas l'acceptation de la photo.
a. L'horizon :
Sur cette photo, on voit clairement que l'horizon n'est pas droit. La tour est penchée. Elle sera donc refusée avec comme motif "photo mal cadrée" :
Voici un autre exemple avec une vue de face. Les portes du hangar et le mur ne sont pas verticaux, même si la piste semble de niveau; l'image sera considérée comme mal cadrée :
Nous vous conseillons de prendre des éléments verticaux pour redresser vos images. Certains éléments considérés comme horizontaux (à tort) peuvent vous induire en erreur.
Il vous faudra effectuer une légère rotation de l'image dans un logiciel d'édition de photos pour que celle-ci soit acceptable, comme dans l'exemple ci-dessous :
Ici, l'horizon a été redressé. Parfois l'avion penche parce que le taxiway ou la piste est en pente. Mais c'est toujours l'horizon qui compte et non la piste !
Les verticales au centre de l'image sont les meilleures références pour arriver à caler votre image :
b. Avion coupé :
Toujours en utilisant cet Airbus d'Alitalia, nous voyons beaucoup de photos avec des morceaux coupés; le plus souvent, ce sont les stabilisateurs arrière qui font les frais de cette découpe. Ici, le cadrage voudrait que l'avion en entier apparaisse sur l'image. Il n'y a aucune raison pour que le plan horizontal soit tronqué. La photo sera donc considérée comme mal cadrée :
c. Taille et position de l'avion en vol :
Nous refusons les photos où l'avion apparaît trop petit dans le cadre, même s'il est centré. Nous considérons que dans la majorité des cas, c'est l'avion qui est l'élément important de l'image, pas le ciel.
Si l'avion n'est pas cadré assez serré et qu'il n'est pas centré correctement, trop vers le haut et à droit ici, cela est aussi refusé :
Lorsque l'avion est suffisamment important dans le cadre, il faut aussi gérer l'espace se trouvant au-dessus et au-dessous de celui-ci. Dans l'exemple suivant, l'appareil est trop bas et le cliché sera refusé :
Dans le même esprit, l'avion est ici trop haut :
La version ci-dessous montre ce que nous considérons comme optimal. Si le cadrage est correct, l'avion devrait se trouver entre le tiers inférieur et le tiers supérieur de l'image.
Enfin, on remarque clairement sur les photos ci-dessus que de l'espace est laissé autour de l'avion. Il faut que l'image respire et que l'appareil ne soit pas confiné, à quelques pixels près, aux bords de l'image. L'avion est en mouvement et il serait judicieux de lui laisser de la place pour montrer qu'il se trouve en vol et ne tient pas par des cordages fixés aux extrémités, comme dans l'exemple ci-dessous :
d. Au sol :
La règle voudrait que le fuselage soit au milieu en hauteur, cependant, avec des avions au sol quelques pixels de décalage vers le bas peuvent être tolérés.
Ceci s'applique spécialement lorsque par exemple on trouve un élément disgracieux sur le bas de l'image (clôture, objets, fil barbelé etc.) et un arrière-plan magnifique plus haut (montagnes, soleil couchant, etc.).
Cependant, il est mentionné que seuls quelques pixels de tolérance seront acceptés; cela sous-entend que l'avion doit rester au plus près du centre que possible. L'effet ne devrait donc être que léger.
Pour un avion en plan rapproché et vu de face, le fuselage devrait être au milieu, même si cela entraine la section des moteurs et de la dérive. Il est préférable de conserver une symétrie entre le côté gauche et le côté droit, sans oublier de garder un horizon droit.
En témoigne, l'image ci-dessous :
Si l'absence partielle des moteurs vous gênent, il est toujours possible de cadrer un peu moins serré en laissant apparaitre les moteurs entièrement. Le fuselage demeure tout de même au centre et l'horizon est droit. Enfin, la symétrie entre les deux côtés de l'image est respectée :
Par contre, lorsque l'avion est trop bas et que les trains sont partiellement ou totalement masqués, la photo sera refusée comme dans l'exemple ci-dessous; le cadrage n'est pas assez serré et ne justifie pas cette découpe :
A contrario, lorsque le photographe décide de cadrer de façon plus large pour montrer les moteurs en entier, l'erreur est de couper les ailes et la dérive sans pour autant avoir une réelle vue rapprochée. De plus, cela augmente la sensation que l'avion est trop haut (alors que le fuselage est bien au milieu) et la photo sera refusée.
e. Cockpits et gros plans :
Des gros plans sur le cockpit avec vue sur les pilotes et autres gros plans sont bien sûr les bienvenus. On ne trouvera donc ici pas de règle spécifique.
Cependant, il faudra que cela soit fait de manière sensée et la décision restera totalement à l'appréciation des membres validant les photos, de manière souvent subjective.
f. Format des photos :
En général, le format des photos envoyés devra respecter les ratios 4/3 ou 3/2. Pour le format 4/3, cela est assez simple : en très haute résolution, l'image fera 1600 x 1200 pixels, en haute résolution 1280 x 960 pixels et en résolution minimum, 1024 x 768 pixels. Au format 3/2, les photos devront mesurer 1600 x 1067 pixels, 1280 x 853 pixels et 1024 x 682 pixels aux formats en très haute résolution, haute résolution et résolution minimum respectivement. Cela est autant valable pour le format horizontal (paysage) que pour le format vertical (portrait).
Pour cadrer ses photos dans un logiciel adapté, il existe des outils appelés "Rogner" ou "Outil recadrage" qui permettent d'utiliser des valeurs spécifiques à chaque format.
Cependant, si l'esthétique de la photo le nécessite, nous accepterons aussi le format carré 1:1, en particulier pour les photos anciennes prises dans ce format là. Des photos d'un autre format pourront être acceptées seulement si elles sont justifiées (panorama essentiellement).
g. Épilogue concernant le cadrage :
Les exemples présentés ici montrent surtout des vues de côté ou de face.
Il est évident que les vues de trois quart face, par exemple en rotation au décollage ou tout autre angle, sont les bienvenues.
Pour les vues de trois quart arrière au sol, un bémol pourrait être mis, car ce sont certainement les moins attractives.
Les plus belles images sont celles qui donnent une impression d'avion en mouvement, etc. Attention, il ne s'agit pas d'images floues, c'est l'avion "bien net" qui doit donner cette impression !
Bien qu'une photo d'un avion statique puisse être magnifique, ce sont sans conteste celles captées en cours d'atterrissage ou de décollage qui sont les plus prisées !
Tout d'abord, précisons que l'idée préconçue visant à dire que plus un appareil photo a de mégapixels, meilleure sera la photo est fausse.
Un pixel qui est un petit carré est la base d'une image. Chaque image est donc composée de petits carrés assemblés pour donner naissance à une photo numérique.
Normalement, chaque pixel dispose d'une information propre avec sa couleur. Cependant, dans un souci de réduire la taille des fichiers, les constructeurs ont fait appel à des formats leur permettant de faire rentrer plusieurs centaines de photos sur une seule carte mémoire. Certains pixels comportant des informations très similaires ont donc été fusionnés pour parvenir à ce résultat.
Malheureusement, plus une image est compressée, plus sa qualité est médiocre et on verra apparaître des regroupements disgracieux de pixels, formant ce qu'on appelle la pixellisation.
Pour mieux comprendre le système, prenons l'exemple d'un livre. Si vous vous avez écrit un livre de 100 pages et que vous voulez le réduire à 10 pages, vous perdrez en détails et vous regrouperez certaines pages entières en quelques phrases succinctes. Le livre sera plus léger, mais moins détaillé. Au contraire, le livre original de 100 pages sera beaucoup plus lourd, mais on y trouvera beaucoup plus de détails.
Le but est donc de compresser l'image au minimum lors de la sauvegarde en JPG (le format universel accepté par Pictaero).
Sur les logiciels d'édition de photos, au moment de sauvegarder, le programme vous demandera quelle qualité d'image vous désirez. Il vous faudra donc lui dire de sauver avec une qualité maximum (10 ou 12 selon les programmes). Bien sur, le fichier sera plus lourd sur votre ordinateur, mais Pictaero accepte vos photos jusqu'à 10Mo; nous vous conseillons donc de ne pas limiter la qualité de vos envois. En général, une image de 1600 x 1067 pixels (le format maximal accepté sur Pictaero) pèse environ jusqu'à 1 Mo. Si le fichier pèse moins de 500Ko, vous pouvez vous demander si la qualité maximum a été sélectionnée au moment de la sauvegarde.
Voici quelques exemples significatifs ; on aperçoit le problème notamment autour des écritures et des formes de l'avion. Des pixels se sont regroupés à ces endroits là :
Lorsque l'image a été sauvegardée avec une compression minimum (et donc, une qualité maximale), l'image est beaucoup plus plaisante et présente de nombreux détails :
Avec un grand beau soleil, la tendance à la sur-exposition est fréquente. Il faudra donc agir sur la balance des blancs et baisser la luminosité sur le boitier. Néanmoins, chaque boîtier et chaque objectif ayant ses spécifications, il est recommandé d'effectuer des essais avant la prise de vue et de se souvenir des réglages adéquats.
Même si la règle universelle concernant ce point n'existe pas, il faut noter que le réglage tout automatique ("full auto") de l'appareil photo n'apporte en général pas le résultat souhaité. Il est souhaitable d'apprendre à connaitre et régler son appareil en utilisant les modes semi-manuels (Priorités ouverture ou vitesse).
La mauvaise exposition se présente de cette façon ; sur l'image ci-dessous, nous avons divisé la photo en trois parties. A gauche, la photo est surexposée, au milieu, l'exposition est correcte et à droite, le cliché est sous-exposé.
Concrètement, sur l'image surexposée, on note que l'avion est plus blanc que ce qu'il ne devrait être. Des détails présents sur le fuselage ont disparu à cause de la surexposition. On dénote une masse blanche, sans faire apparaître les jonctions ou les sondes et on distingue à peine les portes. On dit que les couleurs ont brûlé :
A l'opposé, sur la photo ci-dessous, la photo est sous-exposée ; l'avion est plus gris que ce qu'il devrait être et les couleurs sont ternes. L'image manque cruellement de lumière. Les pneus sont trop noirs, les hublots sont devenus des points noirs dessinés sur le fuselage et certains détails dans les zones sombres ont disparu :
Avec une exposition correcte, on atteint un équilibre où le blanc de l'avion n'est pas trop clair, mais assez pour donner de la lumière à l'image. De plus, les pneus sont gris très foncés sans qu'on en perde les détails. Cet exemple serait plus flagrant en très haute résolution :
Il ne faut pas trop accentuer les couleurs pour que la photographie soit plaisante. Les couleurs devraient être le plus proche possible de la réalité.
Cela est aussi valable pour le contraste et la saturation.
Concernant le contraste, c'est un outil à utiliser avec prudence. En baissant le contraste, la photo sera pâle mais en augmentant celui-ci, la photo présentera des zones très contrastées, oscillant entre le noir et le blanc, avec peu de variations de tons. Ce sera la même chose pour la saturation, qui agit sur les couleurs; le risque est d'obtenir soit une image pâle manquant de couleur, soit une image trop saturée où les couleurs deviennent artificielles.
Le 737 de Jet2.com sur l'image suivante a été découpé en trois partie, d'un manque de contraste à gauche à un contraste trop marqué à droite en passant par une image équilibrée au milieu :
L'image suivante illustre parfaitement le risque de jouer avec la saturation des couleurs; Alors qu'à gauche, l'image manque de force, à droite le vert est trop saturé. Enfin, la partie au milieu présente ce que la photo devrait normalement être :
Bien sûr, certains logiciels de retouche d'image permettent de rattraper une photo mal exposée. Mais plus la photo de base sera bonne plus le résultat sera intéressant.
De plus, par définition, une photo prise en contrejour présentera un contraste moindre qu'une photo bien exposée. Un contraste adéquat pourra être difficile à obtenir. C'est pourquoi il sera conseillé d'éviter de prendre des photos à contrejour.
Enfin, nous avons refusé récemment de nombreuses photos présentant des halos de lumière ou noirs autour des avions en vol, sur un ciel uni. Cela est dû à une utilisation trop importante de la modification des tons foncés et des tons clairs dans un logiciel d'édition de photos. La photo du F-22 ci-dessous a été coupée en deux horizontalement pour que l'effet soit plus visible. On voit clairement cet amas de pixels clairs autour de la dérive et le halo sombre le long des ailes. L'outil "Tons foncés/Tons clairs" devra aussi être utilisé avec parcimonie pour que cet effet ne soit pas visible sur les photos soumises.
Il arrive d'envoyer une deuxième fois une photo ayant déjà été refusée ou accepté par erreur. C'est à ce moment là que ce message apparaitra dans la photo refusée.
Cependant, avec l'afflux de photos envoyées, nous avons décidé de refuser systématiquement des images représentant le même avion sous le même angle capté dans la même série lorsque plus de deux photos ont été soumises. Veillez donc à ne nous faire parvenir qu'une ou deux photos du même appareil pris à quelques secondes d'intervalle présentant le même type de prise de vue. Nous estimons que la qualité doit primer sur la quantité. Nous vous conseillons donc de sélectionner vos meilleurs clichés et de faire un choix avant l'envoi.
Lors du retraitement de l'image, Pictaero incruste les données du copyright et le logo du site de façon discrète en bas de la photo. Tout texte initial incrusté sur la photo (logo, copyright, date etc.) entraînera le refus systématique de la photo. Là encore, concernant les photos anciennes, nous nous réservons le droit de considérer les différentes situations au cas par cas. A noter qu'il est possible de sélectionner l'option "watermark", facultative, à l'envoi de votre photo, ce qui vous garantira un niveau supplémentaire de protection contre la réutilisation de vos photos.
Cette raison est invoquée à de nombreuses reprises et sera généralement divisée en deux parties :
a. Une poussière sur le capteur :
Sur les appareils photo numériques de type Reflex, il arrive fréquemment que des poussières se déposent sur le capteur notamment lors des changement d'objectifs.
Ces poussières formeront alors des taches sur les photos. On peut en voir deux exemples sur les photos ci-dessous, dans les cercles rouges. Ces photos (seulement utilisées pour cet exposé) n'ont volontairement pas été exagérées pour montrer que les taches peuvent presque passer inaperçues (surtout lorsque le photographe utilise de grandes ouvertures sur son objectif). Il est donc primordial de bien vérifier que des poussières ne viennent pas se déposer lors de la prise de vue. Cependant, ces taches se retirent assez aisément avec des logiciels de retouche de photos. En général, le symbole est associé à un pansement ou un tampon qui vous permettra de "gommer" ces taches disgracieuses.
b. Des objets devant l'avion :
C'est un débat sans fin auquel cette partie est dévouée, mais il a fallu que l'équipe tranche. Pour commencer, vient le problème des herbes et buissons ; toute photo présentant des herbes obstruant la vue sur l'aéronef sera refusée. Cela est valable pour des herbes hautes devant les moteurs, ou le fuselage. Pour le train d'atterrissage, cela est plus délicat. Si l'obstruction n'est que très légère, le modérateur se réserve le droit de l'accepter. Encore une fois, c'est un choix subjectif laissé à l'appréciation de la personne validant les photos.
Reste les objets au sol, sur la plateforme de l'aéroport, obstruant la vue sur l'avion. Autant échelles, passerelles ou tracteurs pourront être acceptés, autant bâtiment ou échafaudage ne le seront pas. La décision sera aussi prise en fonction de la photo, si le photographe a voulu dépeindre un plan d'ensemble des activités liées à l'aéroport ou a seulement désiré montré l'avion au sol.
Pour tous les autres cas présentant des objets devant un appareil, les photos seront rejetées.
Le cas des photos plus anciennes a ressurgi récemment et vient à l'encontre de nombreuses règles édictées ci-dessus. Vous pouvez bien sûr envoyer des photos plus anciennes, à condition qu'elles soient de qualité acceptable. Veuillez noter que plus elles seront anciennes, plus notre tolérance envers leur qualité augmentera. Il va de soi qu'une photo scannée de Caravelle prise en 1965 ne peut en aucun cas être au niveau d'une photo captée avec un appareil photo numérique reflex moderne. Cependant, les scanners modernes sont d'excellente facture et lorsque vous soumettrez ce genre de clichés, nous vous demanderons de veiller à garder une résolution, une netteté et une qualité optimum.
Il faut aussi savoir qu'une photo éditée de manière correcte et d'excellente qualité, aura de grandes chances d'être validée plus rapidement. En effet, toutes les photos qui pourraient nous faire douter, se verront confiées à l'avis d'une seconde personne au sein de l'équipe de Pictaero pour obtenir un deuxième avis. De ce fait, le temps de validation pourra être allongé.
Dans tous les cas, si vous rencontrez le moindre doute ou quelconque problème, nous vous encourageons à solliciter notre équipe qui se fera un plaisir de vous répondre en vous fournissant toutes les explications et les conseils nécessaires.
